Mes clients ont acheté deux maisons sur deux parcelles voisines. Leur volonté était d’unir les deux architectures des maisons landaises en les intégrant dans un parc paysager.
Dans le tissu urbain dense de la côte landaise, les nuisances visuelles des rues adjacentes et du voisinage étaient en priorités à prendre en compte.
Devenue une grande propriété, cette parcelle est entourée de grands arbres typiques de la région : Pins, Chênes lièges, Lauriers sauces, Tilleuls…
En fonction de l’exposition et des points de vu intérieur-extérieur des maisons, j’ai donc proposé des barrières visuelles pour créer un véritable cocon paysager et «oublier» les présences alentours.
Le maître-mot dans le choix de la palette végétale était : champêtre ! La nature sauvage au premier plan : Gaura, Pennisetum, Salvia, Thymus, Nepeta, Pittosporum, Osmanthus, Arbustus, Quercus suber… étaient exposés au soleil.
Quant aux massifs à l’ombre, j’ai privilégié les plantes de terre de bruyère : Calluna et Erica, Camelia, Rhododenron, Hortensias, Pieris…
Ce parc paysager est une bonne représentation la diversité et des infinies possibilités d’une composition paysagère.